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Succession

Lorsqu’un de vos proches décède, diverses démarches doivent être effectuées.

Décès, succession, quelles sont les démarches à effectuer ?
Dans l’immédiat vous devrez en effectuer certaines en votre qualité d’héritier :
  • contacter l’employeur de la personne décédée,
  •  informer les organismes sociaux tels que les caisses de retraite du défunt,
  •  les services sociaux du département si le défunt bénéficiait de prestations sociales versées par cet organisme,
  • la Caisse primaire d’assurance maladie pour récupérer les prestations éventuellement dues…,
  •  résilier les abonnements,
  • licencier le personnel de maison du défunt…
Quelle que soit la formalité effectuée, il est vivement conseillé de joindre un acte de décès.
D’autres démarches devront être effectuées par un notaire :

Aussi, votre notaire vous assistera dans ce moment difficile lorsque vous lui confierez le soin de procéder au règlement de la succession. Il n’est pas toujours nécessaire de recourir à un notaire mais en pratique, il n’est possible de s’en passer que pour des successions très simples, comprenant un patrimoine de faible importance et sans bien immobilier.

Un premier rendez-vous permet au notaire de prendre connaissance du dossier : quels sont les héritiers, quel est la consistance du patrimoine successoral… et de répondre à vos questions.

Un courrier récapitulatif de ce rendez-vous sera envoyé tant aux héritiers présents qu’à ceux qui n’ont pas pu se déplacer. Il fera ressortir :
  • la dévolution successorale, c’est-à-dire les personnes ayant vocation à recueillir le patrimoine successoral, compte tenu des dispositions testamentaires éventuelles ;
  •  la composition du patrimoine dépendant de la succession, en fonction des éléments fournis par les héritiers présents lors du rendez-vous d’ouverture du dossier ;
  •  le déroulement du dossier en détaillant les divers actes qui seront signés ;
  • et dans la mesure du possible, si la succession générera de l’impôt.
Dans le cadre du règlement de la succession, vous pourrez être amenés à signer les actes suivants :


NOTORIÉTÉ

Au cours du second rendez-vous, sera signé l’acte de notoriété (alias certificat d’hérédité), qui a pour objet d’indiquer l’identité des héritiers. Cet acte a une portée probatoire afin de permettre de justifier de sa qualité d’héritier.

Ainsi, à l’issue du rendez-vous, il sera remis aux héritiers une attestation dévolutive qu’ils pourront transmettre aux organismes qui le demandent. Pour certaines de vos démarches, vous devrez établir votre qualité d’héritier ; par exemple, pour clôturer les comptes du défunt et récupérer le solde des avoirs bancaires car les comptes dont était seul titulaire le défunt seront bloqués par les banques dès qu’elles auront connaissance du décès.

Le notaire pourra également procéder au déblocage des liquidités successorales pour votre compte. Il vous fera signer un document en ce sens.


INVENTAIRE

Afin de diminuer l’impôt sur la succession qui serait dû, le notaire pourra procéder, avec un commissaire-priseur, à l’inventaire du mobilier du défunt. Cet inventaire aura un coût mais il aura l’avantage d’éviter l’estimation forfaitaire du mobilier (forfait fiscal de 5% appliqué sur la valeur de tous les biens composant la succession : comptes, biens immobiliers, voiture…).


ATTESTATION DE PROPRIÉTÉ IMMOBILIÈRE

Un tel acte sera signé uniquement si le défunt possédait des biens immobiliers. Il a pour but de constater le transfert de propriété, au profit des héritiers, des immeubles qui appartenaient à la personne décédée.


PARTAGE

Le notaire sera à votre disposition pour trouver les termes et conditions du partage des biens successoraux. Un tel acte permet de mettre fin à l’indivision entre les héritiers. Cet acte de partage peut remplacer l’attestation immobilière s’il porte sur l’ensemble des immeubles et est publié au service chargé de la publicité foncière dans les 10 mois du décès.

Cet acte comprendra également, le cas échéant, la liquidation de la succession compte tenu des donations consenties du vivant du défunt et des dispositions testamentaires laissées par celui-ci, afin de déterminer comment répartir les biens successoraux entre les héritiers.

Au préalable, il sera procédé à la liquidation du régime matrimonial du défunt si celui-ci était marié. En effet, dans ce cas, il faut identifier les biens qui font partie de la succession compte tenu du régime matrimonial ayant existé entre la personne décédée et son conjoint survivant. Cette liquidation servira également à la détermination du patrimoine successoral dans la déclaration de succession.


DÉCLARATION DE LA SUCCESSION

Le notaire vous accompagne dans l’accomplissement de vos obligations fiscales en préparant la déclaration de succession. Imprimé fiscal, la déclaration de succession détaille le patrimoine du défunt au jour de son décès et sert de base de calcul pour la liquidation et le paiement des droits de succession. Elle est établie à partir :
  • Pour les avoirs bancaires, des réponses des banques dans lesquelles la personne décédée détenait des comptes ;
  • Pour les biens immobiliers, de l’estimation faite par les héritiers ; il pourra être prudent de solliciter des professionnels de l’immobilier (agents immobiliers, experts…) des avis de valeur. Pour les biens situés dans le secteur de BERGERAC, nous pourrons vous donner notre sentiment.
La déclaration de succession doit être déposée dans les six mois du décès si l’actif brut de succession est supérieur à un certain montant. Elle doit être accompagnée du règlement des droits de succession. Si ces derniers ne sont pas versés après l’écoulement du délai de six mois, ils seront productifs d’un intérêt de 0,40 % par mois. De plus, une pénalité de 10% pourra être due le premier jour du 13ème mois suivant le décès.

Si pour une raison quelconque, la déclaration de succession ne pouvait pas être déposée dans le délai imparti, le notaire pourra déposer un acompte d’impôt au nom des héritiers afin d’éviter autant que faire se peut les intérêts.

En l’absence d’impôt, il n’existe aucune sanction si le délai de six mois n’est pas respecté.

Par ailleurs, la loi prévoit des exonérations spécifiques dans certains cas d’invalidité ou d’infirmité, ou encore d’incapacité de « travailler dans des conditions normales de rentabilité ». Dans l’hypothèse où vous seriez concerné par cette disposition, vous devrez le signaler au notaire pour ne pas perdre le bénéfice des avantages fiscaux.

Enfin, vous pouvez demander des délais de paiement sous certaines conditions que vous pourrez examiner avec le notaire, et moyennant un intérêt au taux légal. Deux systèmes existent :
  • le paiement fractionné : vous payez les droits de succession en plusieurs versements égaux ;
  • le paiement différé : vous pouvez différer votre paiement lorsque vous recevez des biens en nue-propriété.
Si vous ne souhaitez ou ne pouvez pas être présent lors de la signature des actes de la succession, le notaire pourra établir une procuration qui permettra au mandataire de votre choix, ou à un clerc de l’étude, de vous représenter.

En outre, vous pouvez également confier des missions complémentaires au notaire à vos frais. Aussi, le notaire pourra régler les factures de la succession et de l’indivision successorale pendant la durée du règlement du dossier, encaisser des loyers dépendant de la succession, effectuer des déclarations auprès des administrations sociales…

Au cours du règlement de la succession, vous devrez accomplir d’autres formalités en votre qualité d’héritier. Aussi, si vous êtes bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie, vous devrez vous rapprocher de la compagnie d’assurance-vie afin de débloquer les capitaux. Et vous devrez par la suite, transmettre au notaire le certificat fiscal qui vous sera délivré par l’administration après déclaration desdits contrats. Ce document lui sera utile afin de déterminer le montant de l’impôt sur la succession.

L'ACTU DU DROIT DE LA FAMILLE

QPC : pension d'invalidité et ressources du concubin

Publié le : 18/06/2024 18 juin juin 06 2024 14h23 14 23
QPC : pension d'invalidité et ressources du concubin
Le dernier alinéa de l’article L. 815‑24 du Code de la sécurité sociale prévoit, à propos de l’allocation supplémentaire d’invalidité que le montant de l’allocation supplémentaire peut varier selon la situation matrimoniale des intéressés...

Testament olographe partiellement daté par un tiers : pas de nullité automatique

Publié le : 17/06/2024 17 juin juin 06 2024 16h53 16 53
Testament olographe partiellement daté par un tiers : pas de nullité automatique
Le testament est dit olographe lorsqu’il est écrit en entier à la main, précisément daté et signé par le testateur. À défaut de réunir ces conditions, il résulte de l’article 970 du Code civil que le testament olographe n’est alors pas valable...

Loi du 31 mai 2024 visant à assurer une justice patrimoniale au sein de la famille

Publié le : 11/06/2024 11 juin juin 06 2024 17h25 17 25
Loi du 31 mai 2024 visant à assurer une justice patrimoniale au sein de la famille
La loi vise à mieux encadrer les conséquences de la séparation de couple en cas de violences conjugales. Elle prévoit en particulier de priver automatiquement l'époux qui a tué son conjoint du bénéfice des avantages tirés du contrat de mariage. Elle traite également de la décharge de solidarité fiscale entre ex-conjoints...

Frais bancaires de succession décès Proposition de loi

Publié le : 04/06/2024 04 juin juin 06 2024 16h06 16 06
Frais bancaires de succession décès Proposition de loi
La proposition vient encadrer les frais facturés par les banques pour clôturer les comptes de leurs clients décédés, couramment appelés "frais bancaires de succession". D'après l'association UFC - Que Choisir, ces frais ont explosé. Fin 2023, ils s'élevaient à 291 euros en moyenne, en hausse de 25% par rapport à 2021 et de 50% par rapport à 2012...

Assurance-vie : pas de primes manifestement exagérées sans une bonne administration de la preuve

Publié le : 28/05/2024 28 mai mai 05 2024 16h42 16 42
Assurance-vie : pas de primes manifestement exagérées sans une bonne administration de la preuve
Après le décès de leurs père et mère, un contentieux s’élève entre un frère et une sœur dans le cadre du partage des successions confondues, ce qui conduit la fille à assigner son frère en partage judiciaire...

La différence de traitements entre les différents types de couple ayant recours à une assistance médicale à la procréation : QPC rejetée

Publié le : 28/05/2024 28 mai mai 05 2024 16h31 16 31
La différence de traitements entre les différents types de couple ayant recours à une assistance médicale à la procréation : QPC rejetée
Un couple de femmes décide d’assigner le procureur de la République près le tribunal judiciaire de Créteil afin qu’il ordonne instruction à l’officier d’état civil de dresser leur reconnaissance conjointe anticipée...

Vente d’un bien immobilier : pensez à la clause pénale !

Publié le : 28/05/2024 28 mai mai 05 2024 08h00 08 00
Vente d’un bien immobilier : pensez à la clause pénale !
La signature d’un compromis ou d’une promesse de vente est une étape cruciale, car elle engage les parties dans une relation contractuelle portant sur la vente d’un bien à un prix convenu. Toutefois, il arrive que ce projet soit abandonné par l’acheteur ou le vendeur.

Pour se prémunir contre ce risque, les parties peuvent sécuriser leur engagement en insérant une clause pénale dans le contrat. Cette disposition contractuelle contraint les parties au paiement d’une somme forfaitaire, lorsque les obligations figurant dans le contrat ne sont pas exécutées. 

 

Qu’est-ce que la clause pénale ?



En vertu de l'article 1231-5 du Code civil, la clause pénale est une disposition destinée à compenser le préjudice causé à une partie, résultant du défaut d’exécution des obligations contractuelles par son cocontractant.

Bien qu’elle puisse être intégrée à différents types de contrats, à l’exception des contrats de travail et des baux d’habitation, la clause pénale est fréquemment utilisée dans les contrats de vente portant sur un bien immobilier.

En plus de pouvoir être insérée dans un compromis de vente, elle peut être ajoutée dans une promesse de vente. Par définition, il s’agit d’un contrat dans lequel le vendeur, appelé « promettant », s’engage, pendant un certain délai, à vendre le bien au bénéficiaire de la promesse, l’acheteur.

Ainsi, la promesse de vente peut être unilatérale, en ce qu’elle engage seulement le vendeur à la vente du bien ou synallagmatique, le promettant et le bénéficiaire s’engageant réciproquement l’un envers l’autre à conclure l’acte définitif.

Dans ce contexte, l’insertion d’une clause pénale dans la promesse de vente présente deux avantages : 
 
  • Le débiteur peut s’affranchir de ses obligations, en l’échange du paiement d’une somme d’argent ;
  • Le créancier peut contraindre la partie défaillante à exécuter ses obligations.
 

Comment mettre en œuvre la clause pénale ?



Lors de la conclusion d’un contrat, les parties doivent exécuter leurs obligations de bonne foi. La clause pénale sanctionne la partie défaillante qui contrevient à ses engagements. À cette fin, elle doit déterminer la nature de l’inexécution qui permettra au créancier (de l'obligation) de réclamer le paiement de l’indemnité.

La clause pénale doit être formulée de façon claire et non équivoque dans le contrat, sous peine de validité. À défaut, toute clause ambiguë et équivoque peut être considérée comme non écrite par le juge.

La mise en œuvre de cette disposition contractuelle survient à la suite d’un manquement d’une partie à ses obligations.

À titre d’exemple, l’acheteur dispose d’un délai de dix jours, suivant la date de signature de la promesse de vente, durant lequel il peut se rétracter. Lorsque la rétractation est effectuée au-delà de ce délai dit « de réflexion », le vendeur peut activer la clause pénale mentionnée dans la promesse.  

Dans ce cas, le créancier doit mettre en demeure le débiteur d’exécuter ses obligations. Cette première démarche doit nécessairement être effectuée par écrit, soit par l’envoi d’un courrier recommandé avec demande d’avis de réception, soit par la remise d’une injonction contre décharge.

La mise en demeure du débiteur est une étape cruciale, car elle permet d’invoquer la clause, et d’obtenir le paiement de l’indemnité forfaitaire prévue si la défaillance du débiteur persiste.

Cependant, bien que la clause pénale résulte d’un accord commun des parties, le débiteur des obligations peut contester sa validité devant le tribunal judiciaire. En outre, le juge peut ajuster le montant des dommages-intérêts initialement convenus, en statuant sur une augmentation ou une diminution. Il peut également définir un montant proportionnel aux obligations remplies, lorsqu’elles ont partiellement été exécutées.

Ainsi, la clause pénale représente un mécanisme juridique contraignant, qui garantit la protection des intérêts des parties et l’indemnisation du cocontractant lésé. 
 

Demande de reprise de sommes d’argent : la nécessaire qualification de propre de l’époux à la date de la dissolution de la communauté

Publié le : 14/05/2024 14 mai mai 05 2024 15h25 15 25
Demande de reprise de sommes d’argent : la nécessaire qualification de propre de l’époux à la date de la dissolution de la communauté
En application de l’article 1467 alinéa 1 du Code civil, lorsque la communauté est dissoute, « chacun des époux reprend ceux des biens qui n'étaient point entrés en communauté, s'ils existent en nature, ou les biens qui y ont été subrogés »...

Cette formalité protège son conjoint quand on atteint l'âge de la retraite

Publié le : 23/04/2024 23 avril avr. 04 2024 13h36 13 36
Cette formalité protège son conjoint quand on atteint l'âge de la retraite
Certains choix qui paraissaient appropriés au moment du mariage peuvent ne plus être pertinents à mesure que l'on vieillit...

Qu’est-ce que l’indivision en succession ?

Publié le : 22/04/2024 22 avril avr. 04 2024 17h12 17 12
Qu’est-ce que l’indivision en succession ?
L’indivision en succession se présente comme un mécanisme juridique complexe mais courant après le décès d’une personne, plaçant les héritiers dans une situation de copropriété forcée sur les biens du défunt...

Comment calculer les frais de succession ?

Publié le : 02/04/2024 02 avril avr. 04 2024 16h00 16 00
Comment calculer les frais de succession ?
Lorsqu’un proche décède, la transmission de son patrimoine aux héritiers est soumise à des droits de succession, dont le calcul peut s’avérer complexe. Le JDD vous propose un guide pour comprendre et estimer les frais de succession qui peuvent être dus.

Adoption internationale en France : des pratiques illicites

Publié le : 02/04/2024 02 avril avr. 04 2024 09h45 09 45
Adoption internationale en France : des pratiques illicites
Le nombre d’adoptions internationales de mineurs dans le monde est passé d’environ 2 500 par an dans les années 1950 et 1960 à plus de 40 000 au milieu des années 2000. Peu à peu, de nombreux pays ont encadré juridiquement ce type d’adoption pour lutter contre les trafics et promouvoir l’intérêt de l’enfant. Qu’en est-il en France ? ...

La recevabilité des demandes distinctes de celles portant sur les désaccords des parties

Publié le : 18/03/2024 18 mars mars 03 2024 17h17 17 17
La recevabilité des demandes distinctes de celles portant sur les désaccords des parties
L’article 1374 du Code de procédure civile prévoit que : « Toutes les demandes faites en application de l'article 1373 entre les mêmes parties, qu'elles émanent du demandeur ou du défendeur, ne constituent qu'une seule instance. Toute demande distincte est irrecevable à moins que le fondement des prétentions ne soit né ou ne soit révélé que postérieurement à l'établissement du rapport par le juge commis »...

Comment changer de régime matrimonial ?

Publié le : 12/03/2024 12 mars mars 03 2024 11h53 11 53
Comment changer de régime matrimonial ?
Le régime matrimonial est l’ensemble des dispositions légales qui régissent les rapports patrimoniaux et financiers entre les époux. Chaque couple reste libre dans le choix du régime matrimonial. Des conditions particulières peuvent être inscrites lors du choix du régime et de la rédaction du contrat par le notaire. Cependant, elles ne doivent pas être contraires à l'ordre public...

Protection du droit à l’image de l’enfant : publication de la loi

Publié le : 06/03/2024 06 mars mars 03 2024 13h33 13 33
Protection du droit à l’image de l’enfant : publication de la loi
La loi n° 2024-120 du 19 février 2024 visant à garantir le respect du droit à l’image des enfants a été publiée au Journal officiel du 20 février 2024. Destinée à mieux protéger le droit à l’image des enfants sur les réseaux sociaux, cette loi modifie plusieurs dispositions du Code civil. Elle intègre ainsi la protection de la vie privée dans les obligations qui découlent de l’autorité parentale...

Valeur du nouveau bien subrogé au bien aliéné et atteinte au droit de propriété : QPC rejetée

Publié le : 27/02/2024 27 février févr. 02 2024 10h43 10 43
Valeur du nouveau bien subrogé au bien aliéné et atteinte au droit de propriété : QPC rejetée
Un groupement foncier agricole a été constitué entre une mère et ses cinq enfants. Cette dernière en a gardé l’usufruit. Après son décès, un de ses enfants cède ses parts à ses frères et les assigne en partage et en requalification de la donation-partage en donations simples et en rapport de celles-ci...

Droit d’accès aux origines de l’enfant né sous X

Publié le : 21/02/2024 21 février févr. 02 2024 13h25 13 25
Droit d’accès aux origines de l’enfant né sous X
La requérante, une ressortissante française née en Nouvelle-Calédonie, n’eut connaissance de son adoption qu’après le décès de son second parent adoptif...

Succession : pour le paiement fractionné ou différé des droits de succession, voici les taux

Publié le : 20/02/2024 20 février févr. 02 2024 14h30 14 30
Succession : pour le paiement fractionné ou différé des droits de succession, voici les taux
Lors d’un décès, les héritiers disposent d’un délai de six mois à compter du décès pour déposer la déclaration de succession, pour un décès en France métropolitaine et de douze mois dans les autres cas...

La créance sur le domicile des époux et droit de disposer d’un logement décent : QPC rejetée

Publié le : 13/02/2024 13 février févr. 02 2024 15h24 15 24
La créance sur le domicile des époux et droit de disposer d’un logement décent : QPC rejetée
Un commandement de payer valant saisie immobilière a été délivré à un époux concernant leur domicile. Le comptable du service des impôts des entreprises a été subrogé dans les droits du créancier poursuivant. Les époux contestent la déclaration de cette subrogation...

QPC : partage de l'indivision successorale et principe d'égalité

Publié le : 06/02/2024 06 février févr. 02 2024 18h14 18 14
QPC : partage de l'indivision successorale et principe d'égalité
Les dispositions des articles 1476, 864 et 865 du Code civil, qui prévoient un mécanisme particulier pour le règlement de la dette d’un copartageant à l’égard de la succession sauf si elle est relative au bien indivis, dont le paiement n’est pas exigible avant la clôture des opérations de partage, et qui ne régissent pas...

Prestation compensatoire : ce qu'il faut savoir en cas de divorce

Publié le : 06/02/2024 06 février févr. 02 2024 11h56 11 56
Prestation compensatoire : ce qu'il faut savoir en cas de divorce
La prestation compensatoire est une aide qui peut être accordée à l'un des époux qui subit une baisse de niveau de vie en cas de divorce...

L’acquisition par un époux de parts sociales postérieurement à la dissolution de la communauté ne constitue pas un recel de communauté

Publié le : 31/01/2024 31 janvier janv. 01 2024 15h43 15 43
L’acquisition par un époux de parts sociales postérieurement à la dissolution de la communauté ne constitue pas un recel de communauté
S’agissant de la dissolution de la communauté, des règles spécifiques s’appliquent, notamment concernant l’attitude d’un époux. Ainsi, l’article 1477 du Code civil dispose, en son aliéna 1, que « celui des époux qui aurait diverti ou recelé quelques effets de la communauté est privé de sa portion dans lesdits effets »...

Gratification du conjoint survivant et modalités d’imputation des libéralités

Publié le : 29/01/2024 29 janvier janv. 01 2024 11h38 11 38
Gratification du conjoint survivant et modalités d’imputation des libéralités
La protection du conjoint survivant est souvent l’une des préoccupations principales pour toute personne anticipant cette succession. Cette protection peut être assurée par différents dispositifs, dont le fait de consentir des libéralités...
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